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Je ne sais pas si tu as suivi ma liste de lecture et mes critiques, mais je n'ai pas plus accroché au deuxième tome (Fool Moon) qu'au premier (Storm Front).
Est-ce qu'il faut que j'aille voir encore plus loin avant de juger ? Ou ça suffit pour rester dans mes PNR ?
"merci pour la réputation des Français à l'étranger"
Bah la précédente milestone c'était DSK, c'est peut-être moins pire... Enfin dans tous les cas, vu DC, on en entend pas parler.
Et bonne année 2014 également !
Je n'ai pas encore vu de mention de procès en diffamation qui auraient réduit au silence un sceptique. Ce qui peut signifier qu'il n'y a pas trop ce problème, ou bien que même le simple fait de mentionner le procès est risqué
Bref, je ne sais pas. Je dois avouer que j'ai été défavorablement surpris de l'épisode sur la Scientologie de Skeptoid. On peut dire qu'il ne s'est pas trop mouillé. Mais ce n'est qu'un exemple.
J'ai suivi pendant plusieurs années Bad Science de Ben Goldacre, une version développée de sa rubrique dans The Guardian, qui, entre autres, fait dans l'analyse des pseudo-sciences.
Une des impressions qui ressortait de la lecture de ses articles était que les Libel Laws version UK, ou la manière dont elles sont appliquées, rendaient le, hum, scepticisme actif, relativement risqué. Quelle est la situation aux États-Unis à ce niveau ?
Oui c'est extrêmement bizarre, je n'ai jamais compris, et les banquiers à qui j'ai demandé n'ont jamais vraiment compris la question.
C'est la même chose pour les livrets d'épargne. Mais là au moins, c'est cohérent : les intérêts ne sont capitalisés qu'une fois par an.
Pour les emprunts par contre, c'est plus bâtard, parce qu'il me semble bien qu'il y a "capitalisation" chaque mois.
A noter que la "formule fausse", en économie ça s'appelle "intérêts simples", et la formule "juste" "intérêts composés".
En fait, il me semble que les deux modes de conversion entre taux mensuel et taux annuel existent et que les banquiers emploient l'un ou l'autre indifféremment. Le premier est appelé taux proportionnel, le deuxième est appelé taux actuariel.
En France, il y a juste une contrainte règlementaire/légale sur l'affichage des taux pour les crédits immobilier : ils doivent utilisé le taux proportionnel. C'est un peu bête, mais après tout, la proportion de la population qui se refait le calcul from scratch (et cherche à optimise à la main le lissage de son prêt est assez faible, la majorité passe par des calculettes. Tout exprimer dans le même type de taux permet de faire des comparatifs. Après, le choix de l'un plutôt que l'autre relève de l'arbitraire, encore une convention de plus à connaître.
Dans mon souvenir le deuxième tome est assez supérieur au premier. Et je trouve que cela s'améliore petit à petit, mais c'est simplement dû au plaisir que l'on prend à voir se dérouler une histoire avec des personnages que l'on aime bien (cela se complexifie au fur et à mesure). Mais je dirais que l'ambiance reste constante, donc si tu n'accroches pas ce n'est probablement pas la peine d'insister.
Bien sûr, si tu lis en français, on ne parle tout simplement pas de la même chose.