Où mène l'ennui. Et comment le combattre ou, à défaut, s'en contenter.
Dans un de ces grands moments en soirée où il est trop tard pour se mettre à réfléchir sur quelque chose d'intelligent mais encore trop tôt pour se coucher, j'ai installé un serveur LDAP cette semaine. Je pense que je n'ai plus qu'à lui trouver ne serait-ce que la moindre utilité.
Via un informateur local, j'ai appris que la secte des adorateurs de toboggans paraboliques a fait des progrès à la Technische Universität München puisqu'il est possible de descendre rapidement au rez-de-chaussé en glissant, quitte à flinguer ses fringues au passage. Ou de casser la jambe d'une collègue par collision. Ou enfin d'envoyer des objets se fracasser contre le mur en face car les frottements sont minimes. Je meure d'envie de le tester...
Toujours cette semaine, le contributeur majeur d'une bibliothèque d'arithmétique sans limitation (ou presque) a décidé que oui, franchement, j'ai trop de temps libre et que je pouvais par exemple décider d'aller le perdre en lisant des articles stupides de ce monument du savoir humain qu'est Uncyclopedia. Vous avez cliqué ? Oups. Trop tard.