Comme prévu, le retour sur une selle de VTT a été pour le moins douloureux ce week-end. Arrivé dans la station de ski des Ménuires vendredi matin à 3h, la première balade ne partait pas forcément dans les meilleures conditions: pas assez dormi, la remontée mécanique que nous voulions utiliser ne fonctionnait pas. Le parcours modifié en conséquence comportait une première chouette descente, une remontée laborieuse vers Val-Thorens suivie d'une descente musclée un peu plus bas que les Ménuires (haha, il a fallu remonter pour finir). Il y a eu deux montées dans le parcours, et par une curieuse coïncidence les copieuses averses que nous nous sommes pris sur la gueule sont arrivées pendant les montées. Pour faire simple, je n'avais plus un vêtement sec parmi ce que je portais. Mais peu importe, être complètement trempé n'a pas entamé la sensation de pure jouissance lorsqu'on descend enfin de la selle à l'arrivée.
Forcément, pour le parcours du samedi les séquelles du vendredi se sont fait sentir, et il faut déjà une bonne dose de masochisme pour accepter de se rassoir sur la selle. On m'avait dit que le planning des activités tournerait autour du VTT et de randonnée à pied; on peut dire que le samedi j'en ai eu pour mon argent. Sur les cinq heures que nous étions partis, il y a bien eu trois quart d'heure de poussage et de portage de vélo. À travers champs, dans la forêt, en montée, en descente dans un ruisseau, au milieu des ronces et des orties. Quand il a fallu remonter sur le vélo pour pédaler, je savais plus faire, j'avais perdu l'habitude. Et puis comme au milieu du parcours j'étais déjà complètement cuit, ça m'arrangeait bien de pousser.
Sinon, l'appart était tout confort, les paysages magnifiques, et assister aux championnats de France de VTT fût un passe-temps agréable, surtout au niveau des gamelles, gadins, et bouffages de pylône de la part des participants. Anecdote amusante, je suis passé devant le camp de concentration à Val-Thorens où mes parents indignes m'avaient envoyé en détention quand j'étais plus jeune. Ah, on me signale que depuis on appelle ça "colonie de vacances".
Toutes les personnes qu critiquent Cube 2 sont des personnes qui n'ont rien compris a ce film... C'est tout simplement un chef-doeuvre....l'angoisse croissante des personages jusqu'au moment où ils craquent les uns aprs les autres...et qui se souvient des petits détails? Exemple : au tout début quand l'homme dans le cube dit : "laissez moi au moins mes nombres! laissez moi au moins une chance!" ??? qui a compris cette phrase? personne ne c'est donner la peine d'essayer de comprendre, tout le monde c'est arêté a la surface..autre petit détail : quand la cloison se rapproche on voit clairement, quand la fille blonde se retourne, que quelqu'un dirige le cube...mais ça c'est pareil personne n'y a fait attention...et vous savez pourquoi? Parce-que TOUTES les personnes qui n'aiment pas ce film sont des personnes qui nont rien compris au concept de ce film, a son but...je conseille donc a tout ces gens de visiter le site offciel de Cube 2 afin de mieux comprendre ce film et d'arêter de déblatérer leurs inepsies... et a tout ceux qui disent que l'on a un semblant d'explications a la fin je coneille de revoir le flm : il n'y a aucune explication puisque l'on est pas plus avancé a la fn qu'au début.. Merci d'avance....
Si l'on fait un chef d'œuvre et que personne ne le comprend, est-ce que cela reste un chef d'œuvre? Je laisse la question aux philosophes.
Non, ça devient de la pâtée pour ours, au mieux.
Autre question : Est-ce que des détails de quelques secondes peuvent vraiment changer un film ?
Une troisième : Si on est pas sensé être plus avancé à la fin qu'au début, pourquoi venir nous dire qu'on a rien compris ?
Je dois quand même avouer que le premier commentaire est en parfaite adéquation avec le titre de cette entrée de blog, félicitation à son auteur.
Dans le même genre "film avec un concept curieux", y'avait Donnie Darko. Critique perso : j'avais bien aimé, et je pense qu'il vaut mieux ne pas tomber dans la sur-interprétation pour apprécier. Pour Cube 2 (pas vu), s'il faut passer son temps à tout interpréter, c'est pas cool (je rejoins Laurent et Keeh là-dessus). Sinon, Kwisatz, quel rapport avec la choucrouteWWle VTT ?
Ne pas être plus avancé à la fin qu'au début est la marque d'un chef-d'œuvre, c'est certain.
Les colo c'est bien, mangez-en!
Tu es hors sujet, on parlait de Cube 2 ici.
(les colos c'est le Mal)
Avec ou sans selle, le VTT ça fait mal aux fesses.
J'ai peu d'expérience sans la selle.